+ FIRE MEET GASOLINE

- Louve Bisch
young, wild and free.
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PRÉNOM, NOM: Rose Louve Bisch, mais paradoxalement, on t'a toujours appelé par ton deuxième prénom. Louve. Prénom qui définit complètement ta personnalité parce que derrière ton visage d'ange et tes yeux bleus se cache l'âme d'une véritable sauvageonne, tu aimes vivre au jour le jour et que tu aimes la spontanéité des voyages et de l'inconnu. ○ AGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE: vingt-deux ans, en bonne américaine, tu es née un jour férié, mais pas n'importe quel jour férié. Le jour de l'indépendance, jour spécial, jour qui te résume. Ta naissance a été célébrée en grande pompe grâce à ce jour de fête. Tu es née sous les décorations aux couleurs locales, les parades, les feux d'artifice, le barbecue géant, les chansons mythiques, les habits aux couleurs patriotiques, le drapeau américain hissé dans toutes les villes, les détonations des coups de feu, les cris de joie et les rires transportant tout le pays le temps d'une journée. Née à Los-Angeles. ○ ORIGINES ET NATIONALITÉ: Née à Los-Angeles. Une mère américaine. Américaine dans l'organe musculaire creux occupant la fonction centrale dans l'appareil circulatoire, Américaine dans le cœur. Un père français. Tu as grandi à Hossegor. Française dans tous les organes contenus dans l'abdomen, Française dans les tripes. ○ MÉTIER/ÉTUDES: Tu es à quelques mois d'obtenir ton bachelor luxe mode design, mais t'es même obligée de travailler en tant qu'escort pour poursuivre tes études, mais ça, tu évites bien volontiers de t'en vanter parce que t'es loin d'avoir choisi le métier qui pourrait faire en sorte que tes parents fassent marche arrière et c'est loin d'être une fierté pour toi. ○ SITUATION FINANCIÈRE: Dans la moyenne parce que tu arrives à louer ton duplex, à payer les charges que cela implique, tes études et que tu arrives à manger à ta faim. Mais au plus bas quand tu regardes ton train de vie lorsque tes parents subvenaient encore à tes besoins. Depuis que tes parents ont décidé de te couper les vivres complètement du jour au lendemain, t'es même obligée de travailler en tant qu'escort, mais ça, tu évites bien volontiers de t'en vanter parce que t'es loin d'avoir choisi le métier qui pourrait faire en sorte que tes parents fassent marche arrière et c'est loin d'être une fierté pour toi. ○ STATUT CIVIL: Libre et indomptable. C'est simple. Et c'est tout ce qui compte à tes yeux. Les veines saillantes. Les odeurs naturelles. Les barbes de plusieurs jours apportant maturités et virilité. Les muscles glorieux, les grandes lignes qui se trouvent au-dessus des os de la hanche et entre le torse, formant un V distinct. Les courbes musculaires vives sont horriblement irrésistibles. Les hommes. Les hommes qui viennent de se réveiller sont les pires et par le pire, tu veux dire qu'ils sont les meilleurs à cause de leurs adorables cheveux emmêlés, leurs voix rauques et leurs lèvres boudeuses, tu ne peux pas faire face. Il n'y a que les hommes qui puissent te faire chavirer de la sorte. ○ SITUATION FAMILIALE: La cadette, la rebelle débrouillarde. Tu as deux frères et trois est loin d’être un chiffre magique quand il s’agit d’une fratrie. Tu n'es ni la première, ni la dernière tu t'es construite en cherchant à te différencier de tes deux frères. Tu as été tiraillée entre une admiration folle pour ton frère ainé et une pointe de jalousie pour le petit dernier. Ta mère tenant trois magasins franchisés et ton père directeur d'une multinationale. Tu aurais pu avoir une vie parfaite, si seulement tu avais su être comme eux. ○ TRAITS DE CARACTÈRE: amusante + sociable + enfantine + joueuse + anticonformiste + créative + passionnée + orgueilleuse + têtue + capricieuse + lunatique. ○ AVATAR: emily didonato. ○ GROUPE: ONE DAY IT'S HERE AND THEN IT'S GONE.

○ first time that I felt connected to anything.

tu souris beaucoup, tu souris toujours quoi qu’il puisse t’arriver, c’est la seule chose que tu es certaine de ne pas pouvoir perdre + tu aimes les gens, même si tu aimes tout autant rester seule + à cause de tes explorations, tu as de multiples morsures, ecchymoses et égratignures que tu prends soin de cacher lorsque tu suis tes cours où que tu travailles + tu aimes rire de tout et plus particulièrement de toi + regarder le lever du soleil sur la plage + te rendre à Coney Island en semaine lors de la période estivale pour être sur une plage presque déserte et déguster un hot-dog de chez nathan's par la même occasion + écrire un tas de choses, même les choses les plus insignifiantes + retrouver sur tes mains des odeurs qui te rappelle ta vie en France l'odeur du cuir, des chevaux, mais aussi, celle du papier d'arménie + aller cueillir des fraises, des framboises et des mûres + sauter dans des flaques d'eau lorsque tes chaussures te le permettent + constater la douceur et ressentir la fraicheur de tes draps en bambou chaque matin + manger de la glace Häagen-Dazs à même le pot après une mauvaise journée + chercher au moins deux fois par jour ton iPhone + danser + commencer ta journée par un smoothie chou frisé, épinard et pomme + constater le dimanche en toute fin de soirée que tes cheveux sont abimés par le mélange du sel et du soleil après avoir passé une bonne partie de ta semaine la tête sous l'eau et sur le sable.

○ light up as if you have the choice.

HOSSEGOR.

Tu n’as la tête dans ton assiette, tu es fatiguée et tu es surtout malade. Tu as dormi seulement deux heures à cause de ton état grippale. Il est vingt-et-une heures et c’est pile au moment où tu franchis le pied dans la maison familiale que tu entends ta mère qui s’exclame, folle de joie depuis le séjour de la maison familiale. Tu as essayé de disparaître, tu savais déjà ce qu’elle comptait te dire, rien qu'en entendant l'intonation de sa voix. Tu n’avais pas la force de faire semblant et encore moins aujourd’hui. Ta génitrice avait mal choisi son jour. Tu ne voulais pas de cette vie, de la vie qu’elle voulait pour toi. Si jusqu’à présent, elle t’avait laissé libre, tu avais désormais l’âge de te marier, de ce fait, tu étais souvent si ce n’est pas tous les jours aux centres des discussions. « Louve, j’ai enfin trouvé ! J’ai enfin trouvé le bon ! Les voisins tu sais les voisins qui ont déménagés aux États-Unis, ils ont un fils qui vit à New-York, c’est un directeur, un directeur d’une multinationale. Je suis si contente d'avoir enfin trouvé. » Tu lèves les yeux au ciel machinalement, évidemment un directeur. C’est vrai qu’il ne faudrait pas faire tache dans l’arbre généalogique. « Tu vas diner avec lui ma chérie, pas vrai ? Il vient spécialement de New-York pour toi ce soir, tu te rends compte de la chance que tu as ? Et tu verras, il est très gentil. » Tu lèves les yeux au ciel à nouveau, elle te demande, mais tu sens que sa question n’en n’est pas vraiment une. Tu détestes, tu as l’impression de n’être qu’une poupée de chiffon qu’on a laissé dans une sa petite boite durant dix-huit ans et qu’on sort enfin de sa boite quand elle sert à ses intérêts. « Maman ! » Tu t’exclames, mais elle continue. « Maman ! Maman ! » Alors tu répètes dans l'espoir qu'elle comprenne enfin. « Quoi ? » rétorque-telle. « Je n’ai pas envie de diner avec cet homme. Je ne le connais pas d’accord et toi non plus alors cesse de dire qu’il est gentil, tu veux ? Être riche ne veut pas forcément dire être gentil contrairement à ce que tu penses ! Je m’en fiche qu’il soit directeur d’une multinationale, il pourrait même être duc que ça me ferait le même effet. Je ne veux pas me marier pour l'instant et encore moins avec un homme que je ne connais ni d'Eve ni d'Adam. » Ta mère soupire comme à chacun de tes refus comme si tes raisons n’étaient pas valables, comme si tes raisons étaient stupides. Au fond c'est ça elle aurait aimé que tu sois une poupée en chiffon, une jolie poupée, une poupée qui ne pense pas, qui dit oui à tout. « Maman, je n’irais pas, c’est tout n’insiste pas ! Tu n’as pas besoin de soupirer. En plus, les voisins sont de véritables cons, tu le penses aussi, mais ce n’est pas politiquement correct de le dire à haute voix et ça doit être de famille. » Sans rien ajouter de plus tu es sortie de la maison ne laissant pas le temps à ta génitrice de répliquer et tu t’es installée sur le perron.

« Louve ? » Tes yeux étaient fermés, mais tu l’as reconnu et instantanément, ton corps se raidit. « J’ai juste besoin d’être seule en ce moment. » Il ne t’a pas laissé. Bien au contraire, il a commencé à marcher vers toi avec désinvolture. L'enseignant avait ses mains dans ses poches. « Tu n’as pas assisté à mon cours. » « Et ? » Ta voix se brisa. « Je ne pensais pas que tu été adepte de l'école buissonnière, Louve, je ne pensais être devenu barbant à ce point. » A-t-il souligné en douceur, tout en venant s'asseoir à côté de toi. Tu as levé les yeux. Sans trouver quoi répondre, tu n’avais jamais séché et pour rien au monde tu aurais raté un de ses cours -sauf qu’aujourd’hui, c’était différent-, c’était de loin le meilleur professeur que tu as pu avoir. « Tu sais, Louve, je serai toujours là pour toi si tu as besoin de quelque chose. Tu peux me parler de tout. » Tu ne peux pas lui dire l’indicible. Tu ne peux pas. Tu ne peux pas lui dire que tes parents veulent à tout prix que tu te maries. « Je veux juste être seule en ce moment. » Il n’a rien répondu, mais il ne t’a pas laissé. Tu ne voulais pas l'admettre, mais tu as besoin de quelqu'un en ce moment. Il pouvait t'entendre renifler à côté de lui, mais il n'a pas osé tourner la tête pour regarder, de peur que tu lui demandes à nouveau de partir. Tu pouvais lui parler. « Pourquoi tu fais ça ? » Tu l’as regardé fixement pendant un long moment. Tu étais assez intelligente pour savoir ce qu'il voulait dire. Tu n’as pas répondu, tu n’as même pas fait semblant de ne pas comprendre ce qu’il insinuait. Il t’a donc demandé à nouveau. « Pourquoi tu fais ça ? » Tu fixes un endroit sur le sol. Il était loin d'être spécial, mais tu ne voulais pas le regarder. « Ma vie était parfaite, vous savez. J’ai fait ce que j’ai voulu. » Un sourire se glissa sur tes lèvres. « Avant j’avais le droit de faire ce que je voulais. » Tu murmures, les yeux toujours fixés à cet endroit sur le sol. Ton sourire a disparu, maintenant. « Pourquoi avant ? » Tu te laisses enfin aller et entre deux sanglots, tu lui racontes tout.

Encore une fois, tu es la dernière à sortir de la salle de classe. Ton professeur t’interpelle alors que tu t’apprêtes à franchir la porte. « Louve, est-ce que je peux te demander de me taper tes notes pour demain matin pour le laisser à disposition des autres élèves ? » Il te demande. D’habitude personne ne te demandes ton avis, on t’impose des choses, il est le seul à faire exception à la règle. Le seul à te faire confiance, à croire en toi, à croire en tes projets. Tu hoches la tête de haut en bas deux fois et tu prends ses feuilles de ses mains. Tu ranges les feuilles dans ton trieur avant de lui dire au revoir et de partir. Il n’a pas besoin de rajouter autre chose, tu sais pertinemment où tu dois le retrouver le lendemain ce n’est pas la première fois que tu lui rends ce service. Une fois rentrée, tu mets tes lunettes, tu as gardé les yeux fixés sur l’écran pendant deux bonnes heures une fois terminé, tu l’imprimes en deux exemplaires que tu glisses dans ton sac. Tu passes le reste de l’après-midi à te consacrer à tes devoirs. Le lendemain tu le rejoins devant l’entrée des professeurs. Vous entrez dans le bureau des professeurs, à une heure aussi matinale il n’y a personne à part vous deux. Tu sors les feuilles et tu poses délicatement les deux exemplaires sur le bureau. « Je… j’ai préféré l’imprimer en plusieurs fois, parce que… enfin… c’est plus prudent on ne sait jamais. » il te regarde et au moment que tu sent tes jambes qui flagellent. « Merci beaucoup, c’est parfait. » tu souris, puis tu vois que ses manches sont remontées, tu remarques ce tatouage, le prénom de sa femme en calligraphie arabe. Tu perds instantanément ton sourire. Tu recules et prends la direction de la porte. Il t’interpelle avant. « Louve ? » Tu te retournes vers lui avant de commencer à te mordiller la lèvre inférieur nerveusement. « Oui ? » Tu as réussi à retrouver tes esprits, à faire comme si ce tatouage ne t’affectait pas. « Tu fais quelque chose ce soir ? » C’est navrant de voir à quel point il arrive à te troubler en prononçant seulement une phrase. « Euh… non… enfin… hum… non, rien. » Tu n’es pas parvenue à aligner deux mots à la suite. Tu tousses comme si ça pouvait t’aider à retrouver tes esprits. Il se lève et se rapproche de toi. Tu peines à garder la tête froide. Tu es si proche de lui que tu peux sentir son parfum. La porte s’ouvre et tape dans ton dos. Tu sursautes. Une brune entre dans le bureau. Tu sais. Tu la connais. Elle passe devant toi sans t’adresser le moindre regard et sans t’adresser un seul mot. Tu fronces le nez, la mine dégoutée. Tu détestes cette fille, en toute objectivité. C’est sa fiancée. Tu soupires. Tu n’écoutes même pas ce qu’elle dit. Il la regarde silencieusement, elle l’embrasse, tu le fixes et puis sans un mot, tu quittes le bureau. Vexée, furieuse et surtout blessée. Tu le retrouves une heure après tu prends soin de ne pas le regarder, de faire comme s’il n’était pas là au moment où il s’arrête devant toi. « Je suis désolé. Une prochaine fois ? » Tu lèves les yeux vers lui avant de lui répondre sèchement. « Non... Non ça n’arrivera pas. » Il sourit un peu et puis s’éloigne. Tu pries. Tu sais très bien tout comme lui que tu auras du mal à tenir la promesse que tu lui as faite.

CAPE MAY.

Tu as posé tes bagages il y a six mois, soit quinze millions huit-cent-onze-mille-deux-cents secondes, ton arrivée coïncide étrangement -à quelques mois près- au moment où tes parents ont décidé de te couper les vivres.

Tu savoures la sensation d'avoir tes cheveux décoiffés par la mer et éclairci par le soleil. Tu aimes sentir le soleil sur ta peau, voir plusieurs lignes de bronzage marquant ta peau imbibée d'eau de mer. T'aimes même toutes les morsures, les ecchymoses et les égratignures, chacune racontant une histoire intéressante comme des cartes mémoires marquant ton corps. Tu n'aimes pas être emmenée au restaurant, tu te salis et tu aimes manger avec tes mains, plus de nourriture finit sur ton menton que dans ton ventre. Tu manges le dessert avant le dîner. Tu ne vois aucune raison d'attendre. Tu as une vie d'incertitude, aucun plan ou adresse permanente. Tu suis le vent, tu roules toujours vers le bas des collines herbeuses et tu danses sous la pluie. Tu ne connais jamais le temps, tu ne possèdes pas de montres. Le temps est hors de propos, tes jours sont dirigés par le soleil et tes nuits par la lune. Tu n'acceptes aucune aide, tu préfères dormir dans une tente que d'admettre que tu veux de l'aide. Tu es trop occupée à vivre dans le présent pour répondre aux sms, tu préfères parler aux inconnus, même si on t'a toujours appris qu'il ne fallait pas le faire, tu as choisi de ne voir que la bonté et de ne pas juger les livres par leur couverture. Tu te déplaces sans parcours fixe ni constant, tu es indécise, tu ne peux jamais décider quoi que ce soit. Tu méprises les drames et le chaos. Tu es inaccessible et libre.

Rien ne te manque depuis ton arrivée à part ta dignité, tes parents sont loin de te manquer puisqu'à cause d'eux, tu as vu disparaitre ta dignité. Dignité que tu as perdu en prenant des mauvaises décisions. Décision que tu as regretté la minute d’après. Ton métier encore une chose qui va forcément se retourner contre toi, un jour où l’autre, pour l’instant personne n’est au courant de ton passe-temps, inconsciemment, tu le sais que ça va se savoir un jour ou l'autre, mais tu le fais quand même parce que tu n’as plus le choix parce que tes parents ne t’ont pas coupé les ponts à moitié. Tu accompagnes des hommes à des rendez-vous d'affaires, des hommes âgés certains qui auraient l'âge d'être amis avec ton père ou parfois même d'être amis avec ton grand-père, tu les accompagnes une heure ou deux voire trois en échange d'une enveloppe. Ce métier a pris le contrôle de ta vie et t'a refaçonné complétement, sans t'en rendre , tu sais juste, c'est que tu es devenue ce genre de filles, cette fille que jamais tu n’aurais pensé devenir un jour. C'est relativement facile pour toi d'obtenir entre 3 000 dollars et 4 000 dollars mensuellement dans les bons mois où tu as du temps libre en complément des produits de luxe que ces hommes t'offrent. Mais c’est de l’argent tellement facile que tu y prends goût. Tu vends ton physique avantageux, mais pas ton corps oh ça non, tu refuses de tomber aussi bas. Tu espères bien qu'en terminant ton master tes problèmes d'argents s'amélioreront puisque tu auras tes frais de scolarité exorbitants en moins et puis tu comptes bien mettre fin à cette activité lorsque après ta formation d'hôtesse de l'air.

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PSEUDO/PRÉNOM: emelyne. ○ ÂGE, PAYS: vingt-ans, France. ○ CONNEXION: trois jours sur sept. ○ VOTRE AVIS SUR LE FORUM: arg/

. ○ CRÉDITS: tumblr. AUTRE: je vous aime déjà vous et vos smileys trop mignons coeur3:

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La belle Emily.
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche.

merci

Que tu es belle I love you

Bienvenue ici, si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas coeurcoeur:

merci

Bienvenue

Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche.

merci vous deux coeurcoeur:

Je connaissais pas cet avatar, canon ! Bon courage pour ta fiche brille:

oh merci beaucoup, j'aime beaucoup Willa coeurcoeur:

J'aime les gifs de la signature... sifflote:

Bienvenue. I love you

ah bon ?

merci beaucoup coeurcoeur:2

Je connaissais pas la donzelle, mais elle est jolie. I love you

Bienvenue parmi nous et bon courage pour la rédaction de ta fiche. brille2:

oh merci beaucoup je retourne le compliment je ne connaissais pas non plus hayley, mais elle est très jolie I love you

En voilà une très jolie fille brille:

Bienvenue parmi nous I love you

merci

Bonjour.
Ta réservation d'avatar se termine aujourd'hui, alors il se peut que tu te retrouves en compétition. Il te reste jusqu'à lundi pour terminer ta fiche dans le temps imparti, mais tu pourras bien sur demander un délai supplémentaire si jamais tu n'arrives pas à la terminer à temps.

je viens justement de poster la dernière partie de l'histoire coeurcoeur:2

J'aime le personnage.
Je te valide, bon jeu parmi nous.

merci beaucoup coeur3: