✰ DΔNGEROUS

- aron black madden
Ça devient trop compliqué d’être quelqu’un.
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PRÉNOM, NOM: Ma mère voulait à tout prix qu’un de ses enfants portent un prénom typiquement Irlandais et donc, c’est tombé sur moi. Elle m’a appelé Aron et non pas Aaron avec deux "a". Autant le préciser. En second prénom, qui est d’ailleurs assez original, elle a opté pour Black. Je ne sais pas ce qui lui ai passé par la tête le jour où elle a choisi mon second prénom, mais en tout cas ça change de tout ce qu’on voit. Et pour finir, je porte le nom de mon père, Madden. Un nom purement anglais puisqu'il est anglais. ○ AGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE: J’ai été conçu le jour de la Saint-Valentin. Sympa hein ? Donc je suis née neuf mois après, le 20 octobre 1989 dans une petite ville d’Angleterre, Newcastle. Je vais sur mes vingt-cinq ans. ○ ORIGINES ET NATIONALITÉ: Forcément, j’ai la nationalité américaine. Concernant mes origines, je suis irlandais du côté maternelle et anglais du côté paternelle tout simplement. ○ MÉTIER/ÉTUDES: Je n’ai pas eu le temps de vraiment m’investir dans mes études et pourtant j’aurais pu. J’avais le droit à une bourse pour entrer à l’université. Cependant, j’avais horreur de l’école. J’ai tout arrêté dès que c’était possible et je me suis lancé dans du travail au noir, pour ensuite devenir barman. Après la prison, j'ai réussi à trouver un job. Employé dans une station service près d'une autoroute, le plus souvent je travaille de nuit. Je ne touche pas une paye énorme, mais c'est largement suffisant pour me loger et me nourrir. ○ SITUATION FINANCIÈRE: Auparavant, je travaillais dans un bar. La seule chose que je savais vraiment faire enfaîte. J’étais dealer aussi, ça comblait les fins de mois difficile. Je m’en suis toujours sortis. Mes parents ne m’ont jamais vraiment aidé, d’ailleurs ils n’ont jamais vraiment été présent pour moi. A l’heure d’aujourd’hui, je refais ma vie petit à petit. Seulement quand on sort de prison et qu’on a aucun diplôme ce n’est pas simple. Malgré tout, j'ai trouvé un travaille qui paye assez pour que je puisse avancer. Je dirais que je suis entre les deux, je m'en sors quoi. ○ STATUT CIVIL: Avant de faire de la prison, j’avais une petite-amie. Rien n’était sérieux entre nous, mais on se qualifiait tout de même comme étant un couple. J’avais des sentiments pour cette fille, mais je savais d’avance que ça ne durerait pas entre nous. On était beaucoup trop différent. Avant d’entrer en prison, elle m’a plaqué. N’acceptant pas le fait de devoir me voir seulement derrière une vitre pendant trois ans. En tout cas, pour venir me dire qu’elle avait un mec elle s’est pas gêner. Actuellement, je pense avoir trouvé l’amour. Ça fait bientôt un an que je suis avec cette fille, elle est tout ce qu’il me fallait. Cependant, notre relation reste secrète à cause de son frère qui est mon meilleur pote. ○ SITUATION FAMILIALE: Concernant ma famille, j’en ai plus trop enfaîte. Je me suis fait détester à partir du jour où je suis parti en couilles, faut le dire. Drogue, alcool, violence, prison … je faisais que des conneries. Au final, je me suis retrouvé tout seul, sans aucun soutient. Mes parents ne m’adressent plus la parole depuis des années et d’ailleurs, ils ne sont jamais venus me voir en prison. Autrement, j’ai un grand-frère aussi, Lee. ○ TRAITS DE CARACTÈRE: Expansif, parfois étourdi, réaliste, docile, nonchalant, enthousiaste. Auparavant très impulsif, actuellement réfléchi. Énergique, un brin rêveur, responsable, audacieux. Ancien colérique, a présent placide. Je suis quelqu’un de sociable et solidaire, bien qu’auparavant je ne pensais qu’à moi. Méfiant, un peu casse-cou. Jaloux, possessif, lunatique, sérieux, rancunier, drôle, joueur, draguer, dangereux, fier. Et surtout, très peu fidèle malheureusement. ○ AVATAR: Jack O'Connell. ○ GROUPE: There's no place like home.

○ first time that I felt connected to anything.

On m’a toujours qualifié comme étant quelqu’un d’irrespectueux, bordélique, impulsif, violent. Durant mon adolescence, je me suis pas mal bagarrer, je passais mon temps à me foutre sur la gueule avec d’autres. Je ne sais pas pourquoi, j’aimais ça. Forcément, la prison m’a changé. J’ai pris en maturité et surtout en responsabilités. Finis les conneries, maintenant je veux me poser. Il faut un début à tout. ≈ J’ai toujours détesté l’école. Durant mon adolescence, j’ai pris la décision de tout arrêter après le collège. Je n’avais aucune envie d’aller plus loin. De toute manière, je passais mon temps à sécher. Je n’allais certainement pas me forcer. Du coup, je me retrouve sans diplômes. Et je peux vous dire que pour trouver du travail ce n’est pas simple du tout. Mais malgré ça, j’ai réussi. Ce n’est pas forcément un travail que j’aime et que je ferais toute ma vie, mais à partir du moment où ça me permet de me reconstruire et bien, ça me convient. ≈ Je n’ai jamais eu d’expérience avec une personne du même sexe que moi. Honnêtement ce n’est pas mon délire. Evidemment, je n’ai rien contre les homosexuels. Ils font bien ce qu’ils veulent. Non, moi, je suis plus branchée filles et ça, depuis que je suis gamin. J’ai une réputation de coureur de jupons. Genre je passe mon temps à coucher à droite et à gauche et avec n’importe qui. Je ne m’en suis jamais caché. Jamais je ne me suis dit que ça pourrait me porter préjudice dans le futur. Evidemment, je me suis calmée de ce côté-là. Même si j’ai encore du mal à être sérieux. ≈ La famille je ne connais pas. Au moment où j’ai arrêté l’école et que j’ai commencé mes conneries, mes parents m’ont détesté. A tel point qu’ils voulaient que je dégage de chez eux au plus vite. Cependant, ils ne pouvaient pas se permettre de me virer comme ça. Alors ils ont attendu ma majorité pour faire mes valises. Je me suis retrouver sans domicile, j’ai dû loger chez des potes. Ce n’était pas simple. C’est surement à cause de ça que j’ai finis par aller en taule. Je n’ai aucun contact avec ma famille, si ce n’est que mon grand-frère, Lee. ≈ J’ai tellement fait de connerie que ce serait long pour tout citer. J’ai fait partie d’un « gang » pendant un bon moment. C’était bien avant d’entrer en prison. Avec eux, on n’avait qu’une seule devise : Ne jamais abandonner et surtout, ne jamais balancer. Tommy a fait partie du gang, il est mon meilleur pote. Il a également fait de la prison puisqu’on y est entrée en même temps. Cependant je suis sortie avant lui. On n’était pas accusée de la même chose. ≈ J’ai fait deux ans et demi de prison pour avoir tabasser un officier de police. Je ne pouvais pas laisser Tommy se faire embarquer tout seul, je ne l’ai pas supporté. J’ai souvent tendance à ne pas laisser les gens dans la merde et me barrer en courant, c’est tout le contraire. Et ce jour-là, c’est ce que j’ai fait. ≈ Je viens d’une petite ville en Angleterre qu’on appelle Newcastle. J’ai quasiment toujours vécu là-bas jusqu’à mes vingt ans. J’ai été incarcéré dans une prison à Londres. Après ça, comme j’ai eu envie de reprendre ma vie en main j’ai opté pour Cape May où il fait bon vivre. Je pense qu’il n’y a pas meilleur endroit pour changer de vie. ≈ De mes 14 ans à mes 20 ans – avant mon incarcération quoi – je passais mon temps à traîner dans les rues sombres à la recherche d’acheteurs. J’étais un très grand dealer. Et le fait d’être connu m’a créer pas mal d’embrouilles.

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PSEUDO/PRÉNOM: Raveon, Charlène. ○ ÂGE, PAYS: 21 ans, France. ○ CONNEXION: Tous les jours, rps 3/4 fois par semaine. ○ VOTRE AVIS SUR LE FORUM: parfaitement parfait ! ○ CRÉDITS: tumblr. AUTRE: peace & love.

○ light up as if you have the choice.

J’avance pas à pas dans cet immense couloir accompagné de deux hommes costaud, les mains vêtues d’une paire de menottes. Je ne peux pas m’enfuir, c’est terminé. Je réfléchi un peu plus que d’habitude, ce n’est pas mon genre et pourtant je le fais. Je ne sais pas pourquoi. Tellement de choses circule dans ma tête. Je suis complètement perdu. Je pense que je réalise enfaîte. Je réalise que ça va trop loin maintenant. Je sens une main sur mon épaule, celle d’un officier de police. Il m’appuie légèrement afin que je m’installe sur ce banc. Je ne dois pas parler, pas bouger. Je suis au bord du gouffre. Je m’assois sans broncher, je pose mes coudes sur mes genoux pour ensuite caresser mon visage avec mes deux mains prisonnières. Je suis dans la merde. « Monsieur Madden ? » entendais-je au loin. Je relève la tête pour faire face à mon interlocutrice. Une dame parfaitement bien habillée d’un tailleur noir et d’une chemise blanche rembourré dans sa jupe. Elle s’avance près de moi, un sourire afficher sur ses fines lèvres. Pourtant, il n’y a vraiment pas de quoi sourire. Je décide de me lever du banc. Par respect et politesse, je lui sers la main. « Je suis votre avocate, Victoria Anderson. C’est moi qui m’occupe de votre affaire. » Je n’ai jamais dénigrée le travail des femmes, mais là … Me faire représenter par cette dame spéciale, non. « Quoi ? Vous ? C’est sérieux ? » ais-je répondu sans plus attendre. C’est ridicule. C’est sûr avec une femme pareille je vais finir au trou en deux minutes chrono. Je me contente de la regarder sans en dire plus et elle se contente d’arquer un sourcil. « Soyez honnête, répondez aux questions que l’on vous pose et c’est tout. Pour le reste, laissez-moi faire. » Dit-elle clairement, récupérant sa petite mallette. Je retourne m’asseoir. Je vais devoir attendre encore une bonne vingtaine de minutes. Qu’est-ce que j’allais bien pouvoir dire ? Être honnête je veux bien, mais je doute que ça aille en ma faveur. Un homme en costume – tous habillés pareille là-dedans toute façon – s’approche de moi. Je dois me diriger dans la salle où se passera ma condamnation. Le tribunal. Plus j’avance vers cette porte, plus j’ai mon cœur qui s’emballe. C’est bien la première fois que j’ai l’impression que mon cœur va me lâcher. Je respire un bon coup avant de mettre un pied dans la salle. Et là, j’aperçois quasiment toute ma famille. Mes parents, Lee mon frère … ils sont là. Je n’arrive à distinguer aucune expression sur leur visage. Peut-être de la honte, du mépris. Ainsi que le regard vide de mon frère. Je me sens vraiment mal pour le coup. Je n’ai jamais baissé les yeux devant qui que ce soit et c’est certainement pas maintenant que je vais changer ça. Je me contente de rester debout jusqu’à ce que le juge m’ordonne de prendre place. S’en suit tout un charabia auquel je n’ai rien compris. Bête comme un pied. Je suis sûr que pour un meurtre, sa met moins longtemps. C’était interminable. La sentence arrive. Je finis par me lever, les mains toujours menotté derrière le dos. Aucun regard de la part de mes parents. Juste mon frère, il me fixe. Je ne sais pas ce qu’il pense, mais pour mon cas, j’appréhende. Je me dis que c’est la fin de ma vie. Et que je vais devoir assumer pleinement mes actes. « Monsieur Madden, après la concertation du jury ainsi que la prise en compte de votre dossier, je vous condamne à une peine de trois ans d’emprisonnement pour violence aggravé sur un officier de police causant une ITT, ainsi qu'une amende de 45.000 euros. Si vous n’avez aucun problème de comportement, votre peine pourrait être réduite. D’ici là, soyez convaincant. » Un gros coup en pleine figure. Je vois le regard de ma mère pour la première fois. Elle a osé me regarder et j’ai aperçu ses larmes. Elle qui me déteste tant, aurait-elle un peu de peine ? Trois ans de prison, deux si tout se passe bien. Il va falloir avoir un comportement radical si je veux sortir plus tôt. Je ne m’attendais pas à une peine aussi large. Violence aggravée causant une incapacité de total de travail ça vaut jusqu’à trois ans de prison et une amende de 45.000€. Autrement dit, je suis dans la merde grave. Et pourtant, je ne regrette rien du tout. Quand ils sont arrivés, ils se sont tout de suite acharner sur Tommy. J’ai eu le temps de jeter toute la drogue que j’avais sur moi, mais pas lui. Et puis les voir s’en prendre à mon meilleur pote, non. Ce n’était pas possible. Mon sang n’a fait qu’un tour et tout le monde me connait, quand je m’énerve j’ai le sang chaud. Quitte à tomber, autant le faire dignement. Je m’en suis pris à ce flic sans une once de rancœur ou de pitié. J’avais envie de le frapper. Il a fritté mon pote avec sa matraque. On ne fait pas ça devant moi. Tout simplement. Au final, je rentre avec Tommy, mais forcément ils nous ont pas mis dans la même cellule. C’est le début de l’enfer.

Fin de l’année 2013. Ca faisait trois ans que j’étais en prison avec Tommy. On ne s’est jamais lâcher. Toujours soudés. Dans la prison, on ne faisait qu’un. Pour ma part, j’ai pris du poil de la bête et je me sens grandi de toute cette histoire. Je ne pensais pas que cette situation me changerait radicalement de comportement. Attention, je reste le même. Disons simplement que je suis moins impulsif, moins violent et moins con. Oui, faut dire ce qui y’est. Durant mon gros séjour en prison, j’ai eu le temps de connaître des gens. Des humains ayant commis des crimes, des délits bien plus graves que le mien. Parfois, certains avait une peine plus légère que moi pour viol par exemple. Un autre, pour tentative de meurtre il n’a pris que deux ans. Je ne sais pas comment l’état fonctionne, mais en tout cas, ils ne font pas sa dans les règles. Le dernier jour de ma peine, un maton est venu ouvrir ma cage. C’était mon heure. J’allais pouvoir rentrer chez moi. Enfin … pas tout à fait, car je n’ai plus de chez moi depuis que j’ai la majorité. Il m’a emmené dans le bureau de l’homme qui gère la prison. Un certain Paul Jackson. Un nouveau procès aura lieu le lendemain, afin de déterminer si je suis capable de m’intégrer à nouveau à la société. Durant mon emprisonnement, au début, j’ai fait n’importe quoi. J’ai enchaîné des bagarres avec mes codétenus. C’était très dur pour moi. T’as vingt ans, tu entres dans une prison où les mecs c’est des armoires à glace. Toi à côté t’as l’air d’un minus. J’en ai bavé, mais heureusement j’avais Tommy comme soutient. Il me défendait lorsque c’était nécessaire et je lui dois une fière chandelle. Quoi qu’il en soit, le lendemain j’ai eu le droit à mon procès. Mais cette fois-ci, mes parents et même mon frère était présent. Je ne m’attendais pas à les voir, mais je pense que ça n’aurait pas pu me faire plus plaisir. Je n’ai vu personne durant ses trois dernières années. J’ai eu le droit à des coups de fils ou même des visites de Mary, la sœur de Tommy. Mais rien de plus. Durant ce procès, j’ai eu le droit à une grande leçon de moral. Le flic était là, celui que j’ai frappé. J’ai dû m’excuser … Je n’ai jamais fait ça de ma vie jusqu’à ce jour-là. Je suis un mec fier, je ne m’excuse jamais lorsque j’ai fait quelque chose de mal. C’est dans mon caractère, ma fierté. Et pourtant, je l’ai fait. En tant qu’homme grandi et responsable. Le flic, Mike Johnson, m’a même pardonné. Je ne pouvais pas être plus soulagée que je ne l’étais. Je ne m’y attendais pas, mais j’étais ravi, heureux. Au final, la semaine d’après, j’ai pu enfin sortir de cet endroit. Malheureusement, sans mon meilleur pote. Tommy allait rester encore quelque temps. Bordel, ils ont juste trouvé de la drogue sur lui. Dealer, ça paye cher en peine de prison. En sortant, la seule personne qui pouvait m’aider c’était sa sœur. Quand je suis sorti, elle était là. Accoudé sur la voiture du taxi, elle m’attendait depuis une bonne demi-heure. Le voyage Cape May – Londres ça fait une trotte quand même. C’était la seule personne qui me restait … Aujourd’hui, ça fait deux ans que je suis sortis de prison. Avec Mary, les choses deviennent plus ou moins sérieuses, mais je préfère que ça reste entre nous étant donné qu’elle est la sœur de mon meilleur pote qui va – d’ailleurs – bientôt sortir de prison. Je ne veux pas qu’il y est de conflit. Je sais qu’ils ne sont pas en bon terme, mais sa reste son frère et sa reste mon meilleur pote surtout. Ca fait donc deux ans que je vis à Cape May. Au début, c’était un peu dur puisque je devais loger chez Mary. Je ne regrette pas puisque cela nous a permis de nous rapprocher. J’ai finis par trouver un travail dans une station-service près d’une autoroute. Je ne touche pas énormément, mais suffisamment pour pouvoir enfin me loger et laisser à Mary la chance de reprendre sa vie sans m’avoir constamment sur le dos. Quoi qu’il en soit, maintenant j’ai mon appartement et je sais que j’arriverais à m’en sortir. C’est le début de la vie.

le pseudo me fait penser à iron maiden j'adore, puis ça colle tellement bien à jack
je vais cogiter à un chouette lien à te proposer, en attendant bienvenue, et c'est top que tu aies choisi de rester

Jack et le pseudo ... Juste parfait dès le début, ton personnage : catt2:

Bienvenue ici, si tu as besoin d'aide ou de quoi que ce soit n'hésite pas à nous contacter. En attendant, Jack t'est réservé pour quatre jours brille:

Bon je te l'ai déjà dit sous les traits de mon dc (Gage), je veux un lien.
Je suis contente que tu nous a rejoins pour finir.
Bienvenue officiellement et bon courage pour ta fiche.

Voila j'ai envie d'écouter Iron maiden maintenant mouahah:

Bienvenue Jack est un excellent choix brille:

vous êtes des amours, je ne regrette pas d'être rester
merci à tous

edit: ah oui, j'y avais même pas pensée pour le pseudo, c'est vrai que c'est ressemblant