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 i walked away because you had sucked it to the bones + scar

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Oscar Langley

Oscar Langley

SINCE : 02/09/2015
LETTERS : 26
AVATAR, © : joe collier, (ava)desperate bird.; (sign)caius
JOB, STUDDIES : homeless busker
LOVE STATUS : in love with a girl who should run away

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MessageSujet: i walked away because you had sucked it to the bones + scar   i walked away because you had sucked it to the bones + scar EmptyMer 2 Sep - 19:53


- Oscar Aaron Langley
I'm good I'm gone. I've got nothing to lose. my hands are in my pockets and my thoughts on the move. I roam the streets like a fish in the sea, I've been dealing with disillusion enough to be freed. we pushed the boundaries way too far but it was so beautiful. I loved you and I loved us living for wanderlust.
✰ ✰ ✰

PRÉNOM, NOM: Langley nom de la noblesse anglaise. Nom dont les lettres à elles seules peuvent briser les épaules des plus fragiles. Etre un Langley ça ne signifie pas faire partie d’une famille. Etre un Langley c’est faire partie d’une institution. Ça signifie porter le nom d’obscures parents dont les vies ont marquées l’histoire. Etre un Langley ça signifie avoir le charme et le style anglais. Ca signifie boire du thé tout en s’outrant de la grossièreté putassière de ce monde en ruine. Ça signifie se complaire dans son ignorance, vivre la vie qu’on vous a tracé. Mais Oscar en a décidé autrement. Ses parents se doutaient pas qu’ils avaient parfaitement choisis son nom au gamin. Il se doutait pas que le petit se ferait appeler Scar en grandissant. Il ne se doutait pas de la justesse de ce nom. De la douleur que laisserait cette cicatrice. Balafre carmin qui à jamais recouvrerait le cœur de leur petit dernier. Il ne se doutait pas qu’Oscar allait s’éloigner ainsi de la lignée familialle. Qu’il allait devenir une cicatrice béante, seule réminiscence de sa disparition volontaire sur les photos de famille. Alors oui, Scar n’est qu’une personne cicatrice. Une balafre éphémère qui apparaît dans les vies avant de disparaître au petit matin en désespoir de cause. ○ AGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE: Né dans l’aile privée d’un hôpital londonien, le gamin n’a jamais compris pourquoi on tenait tant à quantifier le nombre d’années vécues sur terre. Est-ce qu’on peut vraiment dire qu’il a vécu ses premières années ? L’absence de souvenir, cette amnésie enfantine a toujours hautement perturbé le brun. Qu’est-ce qu’il a fait pendant tout ce temps ? Était-ce vraiment lui sur cette photo faisant face à un gâteau et une bougie menaçant de fondre ? Il ne sait pas Scar, il n’a jamais su. Il n’a jamais compris pourquoi est-ce que c’était si important de savoir le nombre d’années que chacun à passer sur cette terre. Parce que oui, sa carte d’identité dit peut-être qu’il a vingt deux ans et qu’il est né un vingt avril, mais elle ne dit pas l’important. Elle ne dit pas que le jour de sa naissance, le soleil était de sortie. Elle ne dit pas comment sa mère avait broyé les doigts de son père afin d’avoir ne serait-ce qu’un seul cookie. Alors, peut-être qu’il a vingt-deux ans sur sa carte d’identité, qu’il peut boire dans tous les états et qu’il est majeure, mais dans sa tête c’est une autre histoire. Éternel gamin perdu, il est plus proche de Peter Pan que d’un futur parent. ○ ORIGINES ET NATIONALITÉ: Anglais, il a le charme de ce pays pluvieux, l’accent aussi. Beaucoup remarquent sous ses yeux les gouttes de pluies s’amoncelant sous ses paupières, souvenirs de ce pays qu’il a choisi de fuir afin de chercher une terre d’exil. Malgré son accent, son maintien noble et son port altier, ce parfait produit de la noblesse anglaise possède aussi des origines galloise qu’il arbore avec fierté. Depuis son arrivée en Amérique, Scar se détache énormément du décor, ce sans abris aux manières de riche héritier. Il détone dans le paysage des usés de la vie avec ses traits fins et ses doigts que seules les cordes d’une guitare ont jamais usée. C’est pas de sa faute s’il est né de l’autre côté de l’Atlantique. ○ MÉTIER/ÉTUDES: Il avait tout ce con, l’argent, le nom et même l’intelligence. Il avait sa chambre au cœur de la vieille université d’Oxford et un avenir qui puait les billets. Il aurait pu devenir n’importe quoi, avocat, critique littéraire au cœur anthracite, médecin prêt à soigner n’importe quels bobos. Il avait choisi. Il s’était enfermé dans un futur ne lui correspondant pas lorsqu’à dix-huit ans il avait entamé des études de gestion. Gestion de quoi ? Il n’en sait rien. Tout ce qu’il savait c’est qu’il ne gérait rien du tout. Ni cette vie qui lui glissait entre les doigts ni ce temps lui échappant. Il a alors décidé de suivre son rêve, abandonner la sécurité rassurante de ce pour quoi c’est parents l’avaient pistonnés. Devenu sans emploi, il écume les villes des USA une guitare à la main. C’est tout ce qui lui reste, une guitare et une sacoche dans laquelle les gens déposent quelques pièces. C’est pas grand-chose, être un busker ça paye pas bien, mais c’est sa vie, c’est ce qu’il voulait. Quitte à se cracher, autant le faire en beauté. Autant appuyer sur l’accélérateur en regardant la mort dans les yeux. De toute manière Scar il préférerait crever comme ça. Un sourire sur les lèvres et le regard trait plutôt que de vivre en automatique, comme tous ces humains fantomatiques qui passent sans se rendre compte que leur vie les quitte. ○ SITUATION FINANCIÈRE: Cet enfant d’une noblesse en pleine reddition, ce gamin élevé à coup de Marc Jacobs et de prétention avait tout. Pas de cuillère en or dans la bouche pour les Langley, c’est une famille moderne, une famille qui conserve ses traditions sans oublier l’importance révolue de son nom. Non, le petit Oscar a été élevé à coup de Gucci, de costumes Dolce&Gabbana et d’une bonne dose de savoir vivre à l’anglaise. Dire que l’argent coulait à flot chez les Langley serait un euphémisme. Il leur faudrait admettre que leur maison secondaire dans le nord de l’Ecosse n’était pas aussi prestigieuse que le château Balmoral de la reine à Edimburgh, mais il s’agissait d’un lieu plaisant de villégiature. Toutefois, ça n’a jamais intéressé Oscar de reprendre le flambeau familiale, de pérenniser son nom en entretenant les diverses demeures de la famille. Il rêvait de musique, de concert à Wembley et d’un jour remplir l’O2 de Londres. Gamin au crâne bourré de rêve, il ne s’est pas rendu compte de la chute, des billets qui venaient à manquer dans ses poches et de la faim lui nouant l’estomac. Scar est fauché comme les blés. Lui ce petit princesse ingénu élevé avec la noblesse et ce charme que seul les anglais possède. Il est plein de noblesse lorsque des cernes aux yeux il tend la main en espérant qu’on lui offrirait de quoi faire taire cet estomac désespérément vide. Tout ça parce que les rêves ça nourrit pas. Parce que les rêves on peut pas croquer dedans et en faire un repas. ○ STATUT CIVIL: Le cœur en jachère, éternel amoureux de l’amour il en a connu des amantes. Précédemment fiancé avant de s’enfuir de chez lui, le brun a vu l’amour de sa vie le tromper avec leur bassiste. Elle était belle la pianiste qui emplissait son monde onirique. Elle était belle penchée sur la silhouette de ce moins que rien qui grattait les cordes de sa basse sans jamais s’épancher. Depuis, il est célibataire. Il faut dire que la mode des sans abris c’est démodé. Finis les gens qui s’habillaient comme des camés, comme ces âmes égarées perdues dans les rues. Aujourd’hui on le sent à des kilomètres à la ronde Scar et sa médiocrité. On le sent venir le gamin qui avait tout et qui oublia son âme dans la gorge de la mauvaise blonde. ○ SITUATION FAMILIALE: Second d’une famille dont le nom importe plus que les membres la composant, Oscar ne connaît pas la signification de l’ignorance. Il ne sait pas ce que ça fait de quitter le champ visuel de ses parents plus qu’une fraction de seconde. Enfant chéri, pourri gâté par une mère persuadée de ne plus jamais pouvoir enfanter, un père craignant de ne pas avoir de progéniture male. Il fut le cadeau de ses parents des années durant, petit frère emmerdeur qui adorait ennuyé sa grande sœur. Et quelle sœur. Cette fille qui avait tout et pourtant semblait toujours en donner toujours plus. Cette sœur au cœur prêt à imploser, cette sœur qui arrivait à être ce qu’il ne serait jamais. Qui avait la tête sur les épaules et malgré tout ce qu’on attendait d’elle n’en était pas moins douce et toujours présente pour lui. Oscar est l’enfant d’une époque révolue. Le fils d’une noblesse dont plus personne ne veut. Il fait partie de cette nouvelle génération consciente qu’ils n’ont plus leur place dans ce monde. Même si ses parents ne s’en rendent pas compte, leur manière de faire a disparue. A croire que les Langley ne sont plus qu’une relique, un objet ancien qu’on afficherait dans un musée. Scar le sait, Scar l’a toujours su. Peut-être est-ce pour ça qu’il n’a jamais eu de cesse de fuir cette famille qui n’a jamais rien faut d’autre que l’aimer et l’envoyer sur cette voie rassurante qu’ils avaient toujours arpentés. ○ TRAITS DE CARACTÈRE: Oscar c’est un rêveur un gamin qui court après la vie comme il avait l’habitude de courir après le marchand de glace le samedi après-midi. C’est un romantique paumé qui croit encore qu’on peut aimer sans finir inlassablement par se saigner à blanc. C’est un mec intelligent que le bon sens a quitté. C’est juste un mec talentueux qui maîtrise les mots comme d’autres maîtrisent les chiffres. Il est doux, naif. C’est un petit prince de Saint Exupery. Un voyageur avide de découvrir d’autres saveurs. Il est plein d’espoirs, du genre à repeindre en blanc les murs pour vous faire oublier vos idées noirs. Il aime. Aime sans compter, aime à désespérer. Souvent on le croit à côté de ses pompes, mais c’est pas de sa faute, il est juste dans son monde. Tenace, il s’accroche à ses buts comme une tâche dégueulasse s’attacherait à un pull blanc. S’il fait une promesse, il préfèrera mourir que de la rompre. Jeune dans sa tête, des fois il se prend pour Peter Pan ce gamin qui refuse de grandir. Les responsabilités c’est pas pour lui, il est trop versatile pour ces conneries. Il sait pas comment gérer un agenda, faut pas l’imaginer gérer sa vie. Il vit au jour le jour, le marathonien épuisé qui entame un sprint désabusé. Il avance sans trop savoir où aller, mais même sans direction il ne peut s’empêcher de continuer. C'est un mec un peu à côté de ses pompes. Le genre de gars débonnaire qui vous donnera son repas alors que ça fait deux jours qu'il a pas mangé. Il est quand même autonome et débrouillard, faut dire y a pas meilleure institutrice que la rue. Dans ses relations il est jaloux, ce qu'on ressent souvent dans ses chansons. C'est un mec étrange, un observateur maladif aux émotions rachitiques qui l'empêchent de se mettre à la place des autres. C'est un gars qui s'accroche, un mollusque émotionnel qui a peur qu'on le rejette à la mer sans carapace. Alors, il fait semblant d'être froid, semblant d'être habitué, désabusé, mais ça marche pas. Y a toujours ce petit truc dans son regard qui trahi le gamin d'Orphée prêt à s'enfoncer en enfer pour rechercher les êtres aimés. ○ AVATAR: Joe Collier. ○ GROUPE: ONE DAY IT'S HERE AND THEN IT'S GONE

○ first time that I felt connected to anything.
Oscar est un enfant de l’argent et des apparences ; s’il n’avait pas ses allures de clochard il pourrait se rendre dans un restaurant cinq étoiles et ne pas faire tâche dans le décor en se servant des divers couverts à sa portée sans jamais se tromper ; il en sait plus sur la manière de porter un costume sur mesure et les devoir d’un bon gentleman que sur la façon de se faire à manger, ce qui ne lui a pas été hautement utile depuis son arrivée en Amérique + était le chanteur et guitariste de son groupe lorsqu’il vivait encore en Angleterre ; the Wasted Youth était un groupe qui commençait doucement à se faire connaître dans la périphérie de Londres ; si les membres de celui-ci ne s’étaient pas déchirés et n’étaient pas plus intéressé par leurs propres parcours peut-être que ça aurait pu faire quelque chose, quelque chose de bien + Scar possède toujours sa chevalière aux armoiries de sa famille autour du cou, un souvenir de son ancienne vie, il n’est d’ailleurs pas rare qu’on lui demande comment un gamin des rues à pu se procurer une bague en or sertie de pierre précieuse ; pas idiot, il a pris l’habitude de la cacher de peur qu’on ne cherche à l’en dépouiller ; en arrivant en Amérique, il a décidé de se faire tatouer son surnom Scar sur les côtes, bien souvent les inconnus pensent qu’il s’agit du mot et pas de son nom ; aux yeux du brun c’était un bon moyen de s’assurer que s’il venait à mourir il serait aisément identifiable peu importe la fange dans laquelle il roulerait alors + excellent musicien, il a passé le plus clair de sa vie à s’entrainer ; excellent élément du conservatoire où ses parents l’avaient inscrit il joue de la guitare, du piano, du violon et un peu de batterie ; en apprenant que sa petite amie l’avait trompée, plus que de quitter son propre groupe, il décida dès lors qu’il n’avait besoin de personne pour jouer ; chanteur anonyme, il espère qu’un jour quelqu’un le remarquera et lui offrira cette chance dont il a besoin pour briller ; il ne rêve que de ça, les devants de la scène, se faire un nom, une place dans cette existence où tout lui a toujours été donné sans aucune résistance + possède de nombreux vices, la cigarette, l’alcool, les drogues parfois ; il lui est déjà arrivé de se faire juger par des inconnus qui l’observaient en train de chuter des hauteurs des paradis artificiels dans lesquels il évoluait, mais ils comprennent pas, ils savent pas ce que ça fait ; ils font semblant de savoir, mais ils ne connaissent pas la faim, ils ne connaissent pas cette chienne du vie qui prend tout et ne rend rien ; comme lui ne comprenait pas avant, comme lui n’avait aucune idée de ce que ça signifiait de véritablement crever la dalle ; il a appris au contact de la rue, il a gouté à cette absence lui nouant les entrailles et ça fait mal, ça fait si mal qu’une pilule, qu’un joint, une piqûre même, semble être un mal pour un bien ; une alternative qui pourra le faire tenir jusqu’à la prochaine rechute, jusqu’à ce que ses veines ne se glace et que ses yeux vitreux ne se posent à nouveau sur ce monde ; désenchanté + il avait tout ce gamin de l’amour, ce gamin de la vie ; il avait l’argent, une porsche à son nom avant même de savoir conduire, une chambre prête pour lui à Oxford avant même d’avoir décidé s’il préférait cette université où les autres à sa portée ; il avait tout ce petit prince fou qui toisait le monde de sn regard obscure ; il avait tout, tout ce que n’importe qui pouvait désirer, le nom, la fille, l’avenir ; pourtant il a tout envoyé en l’air quand il est parti ; il a rejeté cette vie aseptisé pour se décider à sortir de sa coquille, chasser le vrai, chasser le pure, l’immaculée conception née d’une bavure et d’une aventure ; il a décidé de parcourir le monde à la recherche d’un instant de pur bonheur, un instant fugace où tout ferait sens ; ses proches l’ont pris pour un fou, n’ont pas compris ce que le brun espérait trouvé en écumant les allées sombres et les quartiers malfamés la faim au ventre ; c’est con, mais il en avait marre ; marre d’être ce qu’on lui disait, marre de faire ce qu’il devait ; il voulait vivre ; vraiment vivre, pas comme ses parents, pas comme ces gens qui frôlent la vie à l’aube et frémissent en imaginant ce qui aurait pu se produire ; il voulait la bousculer cette chienne de vie, l’embrasser et même la ramener chez lui quitte à ce qu’elle le baise ; et elle l’a baisée avant de l’abandonner l’estomac vide et la gorge nouée + se trimballe en permanence avec sa guitare, son amplificateur portable et son ordinateur pour s’enregistrer jouer ; il a pas de thunes pour se payer à manger, mais le brun possède un bon ordinateur portable et tout le nécessaire pour monter un mini-studio d’enregistrement en extérieur + a oublié son amour propre entre ses clopes et le portefeuille vide qui ne lui sert à rien au fond de sa poche ; récupérer les fonds de poubelles ne le dérange pas, comme de supplier les passants de l’écouter pour une chanson et de donner de quoi le nourrir ; mais quand les journées se font trop compliquées, que les nuits se font trop froides, le brun n’a pas le choix ; beaucoup considèrent que le corps c’est sacré, un réceptacle pour tout ce qui compose une personne, Scar a appris à s’oublier, oublier ce que ça signifiait que de posséder sa propre personne ; la première fois c’est toujours le plus compliqué, observer les traits tirés de l’autre en passant au repas chaud qu’on vous promet en échange ; il en avait même la nausée, mais tout s’oublie, tout s’apprend + arriver à Cape May c’était synonyme de nouvelle naissance pour Oscar, après s’être abandonné à l’enfer de New-York, avoir oublié son nom sous la chaleur de Los Angeles, le brun espérait trouver quelque chose en plus ici ; peut-être que cette petite ville à de grandes choses à lui offrir ; peut-être qu’il s’agit enfin du bon endroit, de l’ultime arrêt de sa quête + c’est dur de rester un gamin dans sa tête, dur d’y croire envers et contre tout ; pourtant Scar s’accroche, s’agrippe à cette partie ingénue de sa personne comme si elle était la seule chose l’empêchant de se plonger tête la première dans le caniveau ; il s’agrippe à l’enfant plein d’étoiles dans les yeux qu’il était, le protège des intempéries en espérant que la vie finira par les épargner ; c’est rien qu’un gamin dans un corps d’adulte, un gamin qui porte un costume bien trop grand pour ses épaules, qui va finir noyer sous la mer de tissu qui menace de le faire disparaître ; Peter Pan des temps modernes, il espère se trouver une Wendy, se refusera à l’abandonner sur l’appui de fenêtre en la laissant reprendre le cours de sa vie ; il rêve, il rêve à en crever parce que peut-être qu’au final ça signifie ça que d’exister.
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Oscar Langley

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MessageSujet: Re: i walked away because you had sucked it to the bones + scar   i walked away because you had sucked it to the bones + scar EmptyMer 2 Sep - 19:54


- prénom nom
type de lien.
✰ ✰ ✰

bla bla bla bla
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Oscar Langley

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MessageSujet: Re: i walked away because you had sucked it to the bones + scar   i walked away because you had sucked it to the bones + scar EmptyMer 2 Sep - 19:54

+1 et à vous
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Invité
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MessageSujet: Re: i walked away because you had sucked it to the bones + scar   i walked away because you had sucked it to the bones + scar EmptyMer 2 Sep - 20:59

catt2:
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Oscar Langley

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MessageSujet: Re: i walked away because you had sucked it to the bones + scar   i walked away because you had sucked it to the bones + scar EmptyJeu 3 Sep - 12:45

lovelove: lovelove: lovelove: lovelove: une petite idée ?
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Dean Marx
(✮) Is it desire or is it love that I'm feeling for you
Dean Marx

SINCE : 23/08/2015
LETTERS : 252
AVATAR, © : (Logan Lerman) ©Crick - Bassnectar&yearsandyears.
MULTINICKS : G&M.
JOB, STUDDIES : professional baseball player on break.
LOVE STATUS : engaged to Vittoria but is the father of Clary's future baby.

✰ where i belong.
RELATIONSHIPS:
AVAILABILITY: {1/3} free. (evie, boyd)

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MessageSujet: Re: i walked away because you had sucked it to the bones + scar   i walked away because you had sucked it to the bones + scar EmptySam 5 Sep - 20:48

Je viens en touriste, mais je veux, j'exige. sifflote: I love you I love you
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Oscar Langley

Oscar Langley

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MessageSujet: Re: i walked away because you had sucked it to the bones + scar   i walked away because you had sucked it to the bones + scar EmptySam 5 Sep - 21:30

t'as le droit de venir en touriste girl: brille2:

bon bon, comment un joueur de baseball et un mec à la rue peuvent se rencontrer courir: arg/
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MessageSujet: Re: i walked away because you had sucked it to the bones + scar   i walked away because you had sucked it to the bones + scar Empty

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